Le vol 7500 quitte l'aéroport international de Los Angeles à destination de Tokyo avec à son bord 273 passagers. Alors que l'avion survole l'Océan Pacifique, l'appareil rencontre une zone de fortes turbulences. Une fois le calme revenu, un passager est victime d'une crise et meurt subitement. Sa mort semble avoir été déclenchée par l'attaque d'une force surnaturelle qui menace les passagers et les membres d'équipage.
Titre original (ou alternatif) : Flight 7500
Une histoire de fantôme en plein vol signée Shimizu, ça titille forcément un peu. Mais voilà, de Shimizu, on ne retrouve, dans Flight 7500, que des thématiques qui lui sont chères : le temps et l’amnésie... et encore juste pour poser un twist (là où, dans ses Ju-On, ces thématiques ont une signification forte et consolident le récit).
Et de Shimizu, on ne retrouve rien d’autre : pas plus de maîtrise du récit, que de maîtrise du rythme, ni la façon qu’il a de faire se propager l’horreur dans un quotidien un peu gris (et par extension de l’autre côté de l’écran), ni même d’idée propre à décoller de son siège.
Dommage.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...