Une poursuite policière à Los Angeles envoie un homme obsédé par la célébrité dans une course folle pour sauver sa petite amie d'une terreur cybernétique.
Le segment Parallel Monsters de Nacho Vigalondo se détache particulièrement du reste (deux trois idées éparses mais rien de folichon et un fil rouge qui là encore ne lie pas grand chose et apporte encore moins). Le réalisateur montre juste ce qu’il faut pour créer un univers intriguant : le mélange d’ancien et de moderne dans les rites entrevus (la petite installation primaire et le rétroprojecteur qui simule un ciel étoilée), la sirène, le dirigeable... Les maquillages sont plutôt réussis et d’un point de vue narratif, tout est maîtrisé : là encore juste ce qu’il faut pour poser la situation sans trop développer ; sans oublier la chute, à la fois prévisible et inattendue.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...