The Virgin Psychics
Un grand pouvoir implique euh...
Titre original (ou alternatif) : みんな！エスパーだよ！
Des choses à dire sur ce film
The Virgin Psychics, ça commence bien et ça commence fort, c’est crétin dans le bon sens du terme et ça n’arrête pas. De la scène de sélection de fantasmes pré-branlette de Yoshio (Shota Sometani) à la présentation du gang et de leurs pouvoir plus inutiles les uns que les autres allant de la capacité à voir à travers les vêtements à une forme de télékinésie circonscrite uniquement aux objets érotiques (voire aux petits culs) en passant par un flashback savoureux de télépathie entre deux fœtus dont les mamans sont assises côte à côte. C’est crétin, c’est drôle, c’est parfois un peu tendre... c’est le début du film. Le reste ne sera définitivement pas à la hauteur.
À mesure que le film avance, sa dimension un peu rigolote laisse place à un esprit lourdingue de plus en plus épais, reposant toujours sur les mêmes non-gags et un sacré paquet de femmes en tenues légères. C’est assez éprouvant, d’autant que la quête d’âme sœur de Yoshio pas plus que les combats que mènent l’escouade de médiums qu’il a intégrée face aux ennemis qui n’ont pas manqué de se révéler, ne présentent pas vraiment d’intérêt.
Voilà c’est pas du grand Sono Sion... En même temps le bonhomme a été très prolifique cette année-là. De là à dire que tout est pardonné...
Ah et sinon un des personnages s’appelle Mademoiselle Polnareff.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...
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