The Eternal Evil of Asia
Viol pour viol
- Elvis dickhead.
- Le duel de sorciers.
- Le final sexe projection astrale.
Des choses gentilles à dire sur ce film
Intriguant, The Eternal Evil of Asia s’ouvre sur une scène d’intérieur aux cadrages hyper serrés qui met en scène un homme aux prises avec des démons... en réalité - et sans surprise - sa famille et ses voisins, qu’il finit par massacrer avant de se jeter du haut de son immeuble. Le récit qui tourne autour des envoutements et de la sorcellerie baigne dans un climat oppressant... mais pas que. À l’origine du déchaînement de colère dont quatre potes sont victimes : une virée entre couilles qui ne tourne pas comme prévu puisque virés d’un bordel, le groupe d’amis se retrouve au milieu d’une bagarre entre sorciers, parmi lesquels celui qui les poursuivra de sa fureur après le meurtre accidentel de sa sœur, accessoirement, et accidentellement aussi, gangbanguée par trois des gaziers suite à un couac de filtre d’amour. Le sorcier voulant plus que tout violer la copine du quatrième pour réparer l’outrage fait à sa sœur. Oui, oui.
The Eternal Evil of Asia est une grande foire à l’excès, à l’inattendu et à l’enthousiasme débridé dans la pure tradition des catégories III. Et on y retrouve entre autres un couple de sorciers baisant en plein l’air pour décupler leurs pouvoirs, un esprit qui se fait cramer à la laque et au briquet, Elvis Tsui affublé d’une tête de bite, un délire cannibale et un final complètement barré.