L'introvertie Hannah arrive dans un nouveau lycée. Elle se lie d'amitié avec trois autres camarades. Les jeunes femmes commencent à pratiquer la magie et invoquent les plus puissants esprits afin de transformer leurs rêves en réalité.
Si Cailee Spaeny s’en sort plutôt bien elle ne peut pas tenir tout un film sur ses épaules. Et à plus forte raison quand le film est complètement con. Loin d’actualiser Dangereuse alliance ou d’approfondir ce que le film pouvait aborder de manière un peu superficielle, The craft donne encore plus l’impression de subir au mieux la vision sur l’adolescence de gens qui ne l’ont pas connue ou ont oublié ce que c’était, au pire celle d’hypocrites qui cherchent à appliquer un contenu pseudo social plus par calcul que par réel intérêt. Les thématiques posées par Zoe Lister-Jones ne sont pas inintéressantes en soi mais au final sont simplement effleurées et systématiquement de manière pas très heureuse. La surenchère et la caricature n’aident pas.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...