Saga Puppet Master
Puppet Master III : La revanche de Toulon
Inglourious PuppetsTitre original (ou alternatif) : Puppet Master III : Toulon’s Revenge
Des choses gentilles à dire sur ce film
Si on l’aborde comme le chapitre d’une histoire, Puppet Master III : Toulon’s Revenge, OK, c’est n’importe quoi, ça contredit autant le premier volet que le second, qui contredisais déjà lui-même son prédécesseur. Et sur des points qui en plus sautent aux yeux et ne demandaient pas des masses d’efforts à recadrer. Si on l’aborde juste comme un film et un film bis, alors Toulon’s Revenge donne au spectateur tout ce qu’il veut.
En effet, même si la cohérence globale en pâtit, on a pas mal d’éléments sur la mythologie Puppet Master à se mettre sous la dent, ce qui est une première richesse. Il se passe pas mal de choses l’air de rien, et, plus surprenant, à la réalisation, David DeCoteau arrive à faire quelque chose d’assez dynamique. Oui, oui. Et aussi, parfois, à faire passer un peu d’émotion. Oui, oui.
Ensuite, les poupées, présentes à l’écran juste ce qu’il faut sont toujours aussi marquantes et leur animation bougrement sympathique. Cet épisode compte aussi une nouvelle recrue, Six-Shooter qui abat du nazi en ricanant comme un beau diable (en l’occurrence le rire du père de Charles Band, producteur de la saga, qui avait fui la France pendant le régime nazi - se rapporter à l’excellente/aux excellentes chroniques de Cherycok sur la saga sur Darkside Reviews).
Et puis pour ne rien gâter, le rôle de Toulon va comme un gant à Guy Rolfe, quant à Richard Lynch, il fait naturellement, un super méchant.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...
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