Saga Puppet Master
Puppet Master 5 : The Final Chapter
Tu es un puppet master Harry
Des choses gentilles à dire sur ce film
Puppet Master 5 : The Final Chapter, c’est en gros Puppet Master 4 partie II, parfois même Puppet Master 4 tout court comme en témoigne ce résumé de l’épisode précédent d’une longueur effarante (Le diptyque avait à la base était conçu comme un film unique). On retrouve de fait tous les défauts du précédent, peu d’enjeux, beaucoup de mollesse et un méchant très très très méchant aussi impressionnant qu’un président de la République caché derrière un rempart de gardes du corps qui tonnerait avec conviction un « Viens me le dire en face »... et ce côté nanardesque pas désagréable : un personnage qui tombe tout seul en fuyant dans un couloir... à deux reprises ; un « Désolé votre réservation vient d’être annulée » lâché héroïquement par Rick (Gordon Currie) en écrasant la tête du démon.
Petits éléments vraiment sympatoches :
- une scène de cauchemar au cours de laquelle Susie (Chandra West), dans son bain, se fait masser les épaules par Pinhead et la tempe par Tunneler, qui commence à attaquer l’os sous les gémissements de plaisir de la damoiselle.
- et une petite fin heureuse mi-ironique mi-raisin qui voit, sur fond de piano, Susie demander d’un ton niais de publicité « Comment vont mes garçons aujourd’hui ? » à Rick et aux poupées qui l’accompagnent.
Pas de quoi rendre l’ensemble intéressant mais facilement de quoi conserver la sympathie qu’on peut raisonnablement éprouver pour cette saga.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...
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