Saga Puppet Master

Puppet Master 4 - The Demon

Decapitron Legacy
Un jeune scientifique, Rick Myers, travaille sur l'intelligence artificielle. Mais il est la cible d'un petit groupe d'étranges créatures bien déterminées à le tuer, mettant ainsi fin à ses recherches. Mais le scientifique découvre des laboratoires qu'il utilise, un coffre contenant les Puppet Master.Celles-ci vont lui prêter main forte pour se débarrasser des créatures...
source synopsis et images : Full Moon Entertainment
Fiche créée le 4 avril 2023 et mise à jour le 30 août 2023
À regarder uniquement entre amies
sur l'échelle de Slater
  2 regards incrédules :
  • Ces deux scènes de lasergame.

Des choses gentilles à dire sur ce film

Avec ce quatrième volet de la saga Puppet Master, dans lequel les poupées font équipe avec un jeune scientifique contre un démon rancunier et sa mini-armée, on commence à toucher à autre chose. Si chacun des volets précédents relevaient de la bisserie sympathique (défauts compris - les longueurs du 1 et du 2 notamment), avec The Demon, on met un petit pied timide dans le nanar, voire le nanar familial.
Très très typé années 1990 dans son esthétique, le look de ses personnages et dans certains de ses concepts, le film s’engage sur une pente glissante mais un peu glorieuse. Il transforme ainsi les poupées en êtres quasi inoffensifs, sans ambiguïté aucune, qui vont protéger de micro démons les p’tits jeunes qui vont investir le Bodega Bay Inn, l’hôtel mythique de la série ; pose comme gros méchant un démon caoutchouteux super sentaïesque des plus croquignolets (super sentaïesque aussi son choix d’envoyer des sous-fifres totalement inefficaces au casse-pipe l’un après l’autre) ; et propose deux ahurissantes scènes de laser game d’abord contre des robots, et plus tard, contre les poupées... sur ce point, c’est con, mis en boîte comme on peut s’y attendre, mais ça reste rigolo. Sur ce point seulement. Pour le reste, Puppet Master 4 - The Demon est très incohérent, mais bon, ça fait partie de l’univers, et surtout malheureusement globalement mou, redondant et chiant.
Côté petits plaisirs, on a : les visions subjectives de Blade assorties du bruit de ses petits pas, Six Shooter qui s’étire après une sieste et un nouveau venu, Decapitron, qui en plus de porter le nom le plus classe de la terre constitue un petit fragment d’histoire du cinéma. Le fait est que Charles Band, le producteur de la saga, avait, pour le compte de sa société Empire, remplacée, pour schématiser, par Full Moon après sa faillite, l’habitude de se rendre sur le marché du film, entre autres rendez-vous des professionnels du milieu, avec sous le bras une palanquée d’affiches hyper stylées, titre accrocheur et noms vaguement connus inclus, pour séduire les investisseurs. La très grande majorité des projets ainsi présentés n’ont forcément jamais vu le jour... tout au plus ont ils servi à alimenter par un élément ou deux, un autre film. Le destin justement de Decapitron, le robot tueur équipé de têtes interchangeables d’un projet de 1989 recyclé ici version poupée.
C’est beau.



Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...


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    Ce film ne contient aucune mort


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