Proximity
SOS d’un spectateur en détresse
Des choses pas très gentilles à dire sur ce film
Au début, Proximity est relativement intéressant dans une approche des phénomènes extraterrestres qui n’est pas sans rappeler Fire in sky : une rencontre du 4e type et son impact social, témoignage, emballement médiatique pour le meilleur et pour le pire...
Et puis ça commence à tourner un peu trop en rond avant de sombrer dans les abîmes du gentiment crétin. C’est assez chiant, parfois pénible : tout s’enchaîne à la va comme je te pousse à grands renforts de caricature d’organisations plus ou moins gouvernementales dangereuses, de jeune hipster qui sait tout faire depuis son ordi et sa cabane de rêve au fin fond du Costa-Rica, de pouvoirs surnaturels octroyés par les E.T., de passages musicaux pop particulièrement pénibles (autant dans le choix des musiques que dans le côté facile et foireux en terme de montage et de réalisation), jusqu’à l’arrivée d’une fin heureuse à fracasser son écran.
Une mauvaise fiction pour ado en somme...