Saga Police Academy
Police Academy : Mission à Moscou
Police Academy is DeadTitre original (ou alternatif) : Police Academy : Mission to Moscow
À regarder uniquement entre ami·es | |
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Des choses gentilles à dire sur ce film
Boh, c’est un Police Academy, quand on a dit ça, on a tout dit... Voilà, c’est pas le pire, c’est pas le moins pire ; on se fait un peu chier mais on a de quoi écarquiller les yeux quand même de temps en temps, et ce, dès la première scène. Le film s’ouvre sur un morceau de JT qui met en scène une présentatrice dotée d’un joli strabisme qui fait le point sur un nouveau jeu vidéo qui fait fureur tandis que son collègue, absorbé par le dit jeu, appuie de manière très très très ostensible sur tous les boutons de sa Game Boy. Et vas-y que je me contorsionne. Et vas-y que je tire la langue. Et vas-y que je rigole très très fort. La Game Boy n’a pas de cartouche. C’est drôle mais pas pour les bonnes raisons. Pour le reste, Lassard (George Gaynes) égal à lui même, est l’objet de tous les quiproquos possibles, Harris (G. W. Bailey) aussi qui finit sur scène habillé en danseuse étoile en essayant de couper l’herbe sous le pied de ses collègues... C’est balourd et ça lésine pas sur les gros coups de coudes envoyés dans les côtes pour te dire qu’il y a un gag et qu’il faut rire, là, maintenant, hein.
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Attention, parmi ces 100 ingrédients, seuls 50 figurent dans la recette de ce film (sur les 51repérés par l'équipe d'Incredulos Vultus) ; ce qui veut dire que 50 ingrédients de cette liste ne se trouvent pas dans ce film.
Personnage > Agissement
Souvent pour donner des éléments au spectateur... Parfois pour réveiller accidentellement une entité maléfique.
« Attends ! Quand on y va à trois, on y va à trois ? Ou bien on compte jusqu’à trois et puis on y va ? »
Exemple : pris sous un déluge de feu et d’acier, le personnage planqué derrière un baril sort son paquet de clopes et s’en grille une tranquilou.
Un personnage pète un boulon (patron·ne, méchant·es, héroïne ou héros, etc.).
Personnage > Caractéristique
Personnage > Citation
Personnage > Héros ou héroïne
Personnage > Interprétation
Personnage > Méchant·e
Personnage secondaire
Réalisation
Précision : pour les cas de strangulation ou de tirage de col.
Les personnages suspendus dans le vide ne sont pas concernés.
Ou « X mois/années plus tard/plus tôt » (inclut à ce titre les cartons au même titre que les incrustations à proprement parler)
La caméra suit l’employé de maison, chargé d’un plateau sur lequel est disposé une carafe d’eau, le valet s’arrête, ouvre les yeux comme des soucoupe, lâche le plateau libérant la carafe qui se brise à terre, puis la caméra pivote pour nous faire découvrir l’hôte, pendu dans son plus bel habit.
À l’adresse du spectateur. Direct. Sans vaseline ni repas aux chandelles.
Réalisation > Accessoire et compagnie
Lors d’une chasse à l’homme, avant la préparation d’une bataille, ou avant de se lancer dans une expédition risquée, etc.
Soit dans une optique comique, soit avec une visée plus dramatique ou tendue si la personne est aspergée de sang ou de matière visqueuse dégueulasse.
Exemple type : comment ces types font pour ne pas remarquer que la femme tip top canon qu’ils sifflent est en fait Gégé du balto avec une perruque grossière et une tartine de rouge à lèvres.
Réalisation > Audio
Lors d’un rassemblement, on entend des voix plus distinctement que d’autres :
‒ « J’en ai pris plein la poire ! » ;
‒ « Laissez-le parler ! » ;
‒ « Il a raison ! » ;
Etc.
Inclut des insultes lancées avec un accent de titi parisien
Réalisation > Surprise !
Scénario > Blague, gag et quiproquo
Pas d’accord, humilié·e, le personnage attend que son/sa interlocuteurice ait le dos tourné pour lui faire des grimaces !
& variante : personnage qui en imite un autre (dans son dos ou non) en reprenant ses phrases et en les prononçant comme un gamin
Effet garanti sur nos zygomatiques.
Le dit type en fait d’ailleurs généralement les frais.
A voir pour une meilleure appellation. Pour un exemple précis : dans the stupids, les enfants laissent un mot sur la table pour expliquer qu’ils partent a la recherche de leur père, probablement kidnappé, et qu’ils vont voir la police. La mère comprend que la police a kidnappé ses enfants.
Peu après un flic appelle pour lui dire que ses enfants sont avec lui.
Scénario > Contexte spatio-temporel
Scénario > Dialogue
Pleines de sous-entendus totalement transparents... si tu vois ce que je veux dire.
Scénario > Ficelle scénaristique
Scénario > Situation
Là, c’est le moment émouvant où on est censé·e comprendre pas mal de trucs sur la psychologie des personnages.
Thème > N’importe quoi
Coup de poing qui passe à l’aise à 40 cm de la cible, mais qui touche quand même ; la magie du cinéma.
Moment généralement filmé au ralenti
Thème > Rejets, moqueries ou discriminations
Thème > Sexisme hostile à l’égard des femmes
Thème > Testostérone
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les
51 ingrédients
de ce film
Personnage > Agissement
-
À voix haute | Lit ou fait la lecture
-
Compte jusqu’à trois (ou cinq)
-
Écoute à travers une cloison grâce à un stéthoscope ou un verre retourné
-
Passion | Parle de/à sa machine comme de/à une femme
- Passion | Se fait draguer
- Se racle la gorge pour attirer l’attention
- Stylé | Se fait allumer sa cigarette / allume la cigarette de quelqu’un
Personnage > Citation
Personnage > Héros ou héroïne
Personnage > Interprétation
Personnage secondaire
- Foule en délire | Concert, spectacle, manifestation sportive (combat à mort planifié inclus)
-
Meute compacte de journalistes
Réalisation
-
Gros plan | Pieds d’un personnage battant dans le vide
-
Habillage | Incrustation de texte sur l’écran : lieu, date, heure, etc.
-
Habillage | Placement de produits
- Média | Point de situation par un reportage télé, radio ou presse écrite
Réalisation > Accessoire et compagnie
-
Bagarre | Carte d’état-major pour faire un point de situation
-
Est éclaboussé·e par un fluide
-
Pouet-pouet | Déguisement
-
Stylé | Coffre-fort caché derrière un tableau
Réalisation > Audio
- ? | Bruit incongru d’objet
-
? | Dialogues en arrière-plan sonore
-
Ambiance sonore | Concert de klaxon pendant un embouteillage
-
Bruit exagéré | Accessoire
- Bruit exagéré | Coups donnés lors d’un combat au corps-à-corps
-
Bruit exagéré | Les épées, cannes, flèches, lances font woosh et cling !
- Effet | Lasers qui font « piou-piou », touches d’ordinateurs qui font « pi-pou-pou » etc.
- Musique | Classique
-
Musique | Pouet-pouet
-
Woosh | mouvement / acrobaties
Scénario > Blague, gag et quiproquo
-
Caché derrière des plantes vertes
-
Coup dans les couilles (gag)
-
Fait des grimaces (dans le dos) / répète une phrase sur un ton moqueur
- Gag cartoonesque
- Gag cartoonesque | Personnage noirci ou aux vêtements déchirés de manière artificielle après une explosion
- Interprétation | Louche ou grimace après avoir reçu des coups
-
Met en échec le type chargé de le tuer sans s’en rendre compte
-
Pipi, caca, prout
-
Quiproquo de situation
-
Son perçant qui explose un truc en verre
Scénario > Contexte spatio-temporel
Scénario > Dialogue
-
Menace feutrée de mafieux
- S’adresse à son ennemi invisible ou absent | « Je sais que tu es là », « Qu’est-ce que tu mijotes ? »...
- Sous-entendu sexuel
Thème > N’importe quoi
- Carton-pâte | Les gens ne savent pas jouer aux jeux vidéo dans les films
- Trop con·ne | Ces gens font des trucs complètement con
Thème > Rejets, moqueries ou discriminations
Thème > Sexisme hostile à l’égard des femmes
Ce film ne contient aucune mort
«
voilà, c’est la fin. j’ai acheté l’intégrale des police academy et je viens de terminer le 7e. Ce dernier épidode est navrant et pathétique à la fois. rien ne tient et c’est bien le plus mauvais de la série après le 5 (les 4 premiers et le 6 étant corrects). Mais voilà c’est le dernier, il y a cette scène de balai du lac des cygne du bolchoï, et surtout il y a l’affection extraordinaire que l’on a pour ces personnages même si beaucoup manquent à l’appel. C’est en quelque sorte un dernier baroud d’honneur de ces policiers excessivement sympathiques. Hightower nous a quitté, aucuns des acteurs n’a percé ...mais voilà à l’heure des grosses machines mécaniques et huilés, cette série je trouve respecte l’amour de la comédie, même maladroite et foutraque, derrière tout cela on sent une grande humanité chez ces comédiens, et je pense qu’on peut saluer la ténacité du producteur, qui l’a fait pour l’argent certes, mais tout de même, on sent une âme au cours de la série, étirée sur 20 années , et c’est là le principal !!
merci à TOUTE la troupe de police academy !!
»« De grands absents et des nouveaux pour ce dernier épisode de la saga des farfelus policiers académiciens avec un peu d’attente à l’accueil pour du renseignement comparé aux précédents années. Les personnages ont beaucoup évolués, de bonne facture et une comédie sérieuse tout en gardant ces recettes qui font son succès. Pas de dépôt de plainte mais une doléance d’intrigue venant de l’homologue policier russe post-soviétique, les élèves de l’académie américaine aux notes d’appréciations passables. Ils n’ont de compte à rendre à d’autre police perfectionniste névrosée caché derrière le code d’honneur en papier, apportant leur soutien pour rechercher « Hellboy », un rôle d’avant en chef mafieux profiteur de l’échec de la pérestroïka et de l’effondrement de l’URSS, la raison du délai dans la file comptoir cinéma. Sa main mise terrorise le monde du jeux vidéo, la décennie 80 florissante sur le marché du trafic d’arcade et plate-forme 2D finit par être achevée, la levée de l’embargo de gameboy contrefait, beaucoup de vilain délit délirant, ça fait sortir des sourires. Des superbes scènes à découvrir sur la culture russe, ce n’est pas seulement l’addiction à la vodka, la nostalgie bolchevique, une fierté nationale et le bel uniforme pour ce métier assurant la sécurité des ces concitoyens. Le spectacle du cirque centenaire avec ces réputés fantastiques gymnastes à l’œuvre d’un exercice complexe, le triple salto funambule sous un tonnerre d’applaudissements, l’imperfection touche ce qui rend humain dans l’humour, tout les corps de métier sont touchés. C’est le pays de l’opéra, du ballet et de la célèbre grande musique classique, des airs et hymnes diffusés, une inspiration culturelle. Les artistes cavaliers Cosaques font leurs acrobaties pour le restant des acteurs qui ont pu participer à cette conclusion formidable, le baiser immortalisé de dirigeant soviétique, une coutume locale sans ambiguïté et apriori. Les premiers de la classe de l’ecole de police ne veut dire systématiquement qu’après sortie directe de la machine à fabriquer du formatage en bons agents transformés, un ordre reçu hiérarchique sinon, ce sera le bâton télescopique du sanctionné. Les comédiens cancres réussissent mieux grâce à leurs imaginations prolifiques, un gage de divertissement, il n’y a pas d’inconvénient à voir une nouvelle approche en stand-by pour d’autre « Police Academy » suivant. »
« Comme les autres de la série il y a pas d améliorations j ai même l impression que ça ceux dégradé même plus que le tout premier ouf sait le dernier »
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