On se calme et on boit frais à Saint-Tropez
Plat comme un bonnet AAÀ regarder uniquement entre ami es | |
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regard incrédule
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Des choses à dire sur ce film
Encore une musique de générique géniale.
Et puis après plus rien.
Si Les Branchés à Saint-Tropez n’avait absolument rien à raconter mais le faisait quand-même vraiment bien, On se calme et on boit frais à Saint-Tropez, dernier épisode de ce qui est parfois appelé la trilogie tropézienne, est d’une platitude désolante.
Rien de nouveau, Max Pécas enchaîne les situations, les plans nichons, les stéréotypes, sans réelle ligne directrice. On trouve ce qui fait le charme du versant comédie de la carrière de Pécas : nichons, donc ; la formule homme + vêtements de femme et voix de fausset = gag ; sexisme frelaté (les hommes trompent allègrement leurs gourdes de copines qui font mine de faire pareil mais juste pour les rendre jaloux parce qu’en vrai elles y tiennent à leur choupinou d’amour qui a juste besoin d’un peu de plomb dans la tête finalement) ; homosexuel très très très efféminé (lol) ; mécanique du gag héritée du théâtre de boulevard... Mais, cette fois, rien ne fonctionne vraiment, ni en tant que tel, ni par accumulation.
Même la tripotée de comédiens qui jouent maaaaaaaal, anonnent ou oublient temporairement leur texte, jumelée à la méthode de Pécas elle-est-bonne-on-la-garde n’amuse pas vraiment.
Reste une certaine forme de légèreté, d’insouciance un peu réjouissante, un côté o tempores, o mores qui rend le film intéressant à voir au moins une fois entre deux sketchs de la troupe en folie.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...
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