Le retour aux sources à la figure tragique du zombie esclave. L’idée de livrer la personnage principale (Ayaka Komatsu) dans une caisse avec un manuel d’instruction et un révolver en dit long.
L’idée d’un fond neutralisé, pas d’époque réellement déterminée, pas d’explication sur l’origine du virus, pas de chronologie des événements. Juste le minimum syndical. Le personnage incarné par Komatsu reste longtemps coincée dans un éternel présent... et puis des souvenirs remontent petit à petit.
Artistiquement et techniquement le film est magnifique : la mise en scène et le noir et blanc sont extrêmement bien travaillés ; les maquillages, les effets visuels (les veines qui bourdonnent) sont sobres mais loin d’affaiblir l’ensemble renforcent sa puissance dramatique. Les effets sonores, le rythme, les scènes répétitives qui rappellent l’île nue n’y sont pas étrangers.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...
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