Messiah of evil
Faut pas rester là Madame !
Des choses gentilles à dire sur ce film
Un chouette moment de ciné !
La scène d’exposition de ce film qu’aurait pu écrire Lovecraft met tout de suite dans le bain et installe une angoisse sourde qui suinte par tous les grains de la photo, l’atmosphère du film étant aussi bizarre qu’étrange, mais moins fantasmagorique que sale et très terre à terre. Cet effet est entre autres nourri par les menaces qui fleurissent comme les fleurs de coucous en mars, de plus en plus nombreuses, diffuses ou pas, comme par exemple les voiles du bateau qui semblent dotées de vie propre et agressent les passagers.
J’ai bien retrouvé les « défauts » évoqués par l’équipe du Pifffcast (épisode 108) résultant de conditions de production chaotiques et suis d’accord pour constater qu’elle personnalisent et donnent une patine agréable au film.
Agréable aussi les questions restées sans réponse, gardant mystérieux le mystère : la moindre des choses pour un film évoquant des anciens dieux oubliés.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...
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