Dagobert, roi paillard et grand pécheur, se rend à Rome pour demander au pape Honorius Ier le pardon de ses fautes. Sur place, il rencontre des complots, des faux papes, des vrais assassins et surtout la soeur de l'Empereur de Byzance, la belle princesse Héméré dont il tombe follement amoureux. Mais une ultime trahison fomentée par le moine Otarius mettra fin à ses projets.
La scène des tonneaux de Bilbo le hobbit... mais avec des femmes.
À défaut de scenario, il y a au moins un casting sympa : Ugo Tognazzi, Michel Serrault... Et puis, même un peu en sous régime, Coluche a la classe en roi dépravé.
Le soin apporté aux costumes, à l’ambiance (même si on est loin de Jabberwocky ou Sacré Graal)... certains plans sont assez beaux.
Le gag avec les pièces de monnaie qui servent de pièces d’identité.
Des répliques sympa du style « À quoi servirait le pouvoir si c’était pas pour en abuser », « Si dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer » et autres « Transfusion de merde par voie rectale »...
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...