L’échelle de Slater

Le nombre d’ingrédients qui entrent dans la recette d’un film est un bon indicateur de sa nature.
Mais ce nombre ne dit pas forcément la densité réelle de gras ressentie de ces films.
C’est à cela que sert l’échelle de Slater (anciennement échelle de W. Stranix).

Certains films comptant un niveau moyen d’ingrédients sont pourtant ressentis comme très riches, souvent surdosés en "Répliques à la con" ou autre Chute dans le vide en criant « Aaaaaah ! ».

Pour mesurer ce bon gras, l’échelle de Slater permet de détecter les films "généreux", qui assurent un goût en bouche prononcé et persistant et qui permettent d’être certaine de passer un bon moment.

L’échelle part du niveau 1, le plus faible, qui signe des films issus d’une culture raisonnée et qui ne raviront pas l’amateurtrice éclairée.
Elle couronne d’un 10 les films les plus copieux, rythmés, ceux qui ne déçoivent jamais.

Voir la liste des films classés selon l’échelle de Slater.

Trivia

Cet outil de mesure doit son nom à Jack Slater, héros mythique et cabotineur de première, à qui ce site doit beaucoup, Grâces lui soit rendues.

Jack Slater
Last action hero, Columbia Pictures, Oak Productions