Les Sept Clans sont à la recherche d'une arme extraordinaire. Ils n'hésitent pas à massacrer un couple pour connaître son emplacement. Heureusement, les enfants sont épargnés. Le garçon sera élevé par un maître qui l'a sauvé, tandis que la fille sera élevée par leur école de sabre. 18 ans plus tard, le jeune Yin est envoyé par son maître récupérer l'arme que ses parents avaient dissimulé dans une grotte remplie de pièges...
Titre original (ou alternatif) : 武林聖火令
Yin Tien Chu (Max Mok Siu-Chung) qui se frite avec des idéogrammes dans une caverne.
Un mannequin entraperçu qui fait son petit effet.
Des choses gentilles à dire sur ce film
Holy Flame of the Martial World est un délire complet. Une scène d’ouverture qui glisse rapidement dans le fou fou et c’est parti, les péripéties s’enchaînent à vitesse constante, et surtout elles permettent un déploiement d’idées dingues en totale rupture avec la simplicité du récit : des combattants plus à l’aise dans les airs que sur terre, des idéogrammes fluos agressifs, des guerriers peints sur des rouleaux qui prennent vie, de la télékinésie ou encore un doigt qui envoie des rayons lasers... Et c’est comme ça jusqu’à la dernière minute du métrage.
Les effets visuels sont particulièrement sympas et, s’ils peuvent parfois revêtir un aspect kitsch, même pour l’époque, ils collent à merveille avec l’ambiance générale.
Les scènes de baston sont quant à elle plutôt maîtrisées que ce soit en terme de chorégraphie ou en terme de réalisation.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...