Saga Highlander

Highlander : Endgame

Le Highlander est mort, vive le Highlander
Les Highlanders ont vécu à l'époque de nos ancêtres et vivent aujourd'hui à nos côtés. Depuis des siècles, Duncan MacLeod (Adrian Paul) croise le chemin de son proche ami, Connor MacLeod (Christophe Lambert), immortel également. Leur amitié a commencé au XVIIème siècle, lors de leur première rencontre sur le champ de bataille de Glen Fruin. Connor l'avait alors pris comme apprenti et lui avait enseigné les rudiments de combat et les règles des immortels. A l'aube du XXIème siècle, le destin a fait en sorte de les réunir à nouveau. Par ailleurs, les deux combattants découvrent que chacun de leurs adversaires possède un pouvoir de destruction incroyable dû à la maîtrise des arts martiaux et de l'épée. Une ultime bataille dont l'issue décidera du destin de l'espèce humaine va se dérouler entre les immortels sur la Terre. A la fin, il ne doit en rester qu'un seul.
C’était chouette de le voir une fois
sur l'échelle de Slater
avec Christophe Lambert
  2 regards incrédules :
  1. Les chevaliers au look improbable chevauchant leurs motos
  2. L’espèce de morphing qui superpose les visages de Christophe Lambert et de Adrian Paul

Des choses gentilles à dire sur ce film

Highlander III faisait timidement mine d’effacer le volet précédent, Highlander Endgame finit de l’annuler dès sa présentation écrite : les immortels, on ne sait pas d’où ils viennent mais ils sont là point barre. Chers fans, on vous a compris ! Vous, ce que vous voulez c’est que Connor MacLeod (Christophe Lambert) et Duncan MacLeod (Adrian Paul), respectivement héros de la saga ciné et héros de la série télévisée, finissent par se croiser et finalement avoir à croiser le fer ; vous, ce que vous voulez c’est voir des types habillés comme des chevaliers affublés de casques ridicules rouler à moto comme dans le dernier sous Mad Max venu (et tenir des propos totalement incohérents à l’image de ce magnifique échange : « Tu vois qu’est-ce que je te disais, j’ai l’air d’une orange - mécanique Bob, c’est hyper tendance, crois-moi ») ; vous, ce que vous voulez c’est voir un tableau récapitulatif des morts d’immortels infligées par les concurrents encore en lice (oui, oui) ; vous, ce que vous voulez c’est l’émotion d’une histoire d’amour complexe comme celle qui a eu lieu entre Connor et Heather mais avec une scène de cul éroticotarte comme on en faisait au milieu des années 1990 en plus...
Eh bien tout ça, vous l’aurez.
Endgame annule The Quickening mais ne fait objectivement pas beaucoup mieux. En revanche, sur une optique plus déviante, c’est un régal. En fait, Endgame c’est deux fois plus de héros, trois fois plus d’ennemis... et une accumulation fantastique d’éléments nanars, lourdeurs comprises. L’arrivée des antagonistes à dos de motos, équipés de casques médiévaux particulièrement saugrenus, et le déluge de ratatatatata et d’explosions qui suit est à pisser de rire naturellement, mais l’est tout autant la première apparition pourtant beaucoup plus sage des héros qui marchent côte à côte au ralenti dans la foule et qui se séparent après un échange débile et mou en se regardant longuement en silence, en souriant et en hochant la tête... moment qui sera resservi à plusieurs reprises sous forme de flashback. Le film est d’ailleurs truffé de flashbacks totalement superflus qui reprennent des scènes montrées à peine 15 minutes plus tôt mais aussi de passages en voix off pour bien faire comprendre au spectateur ce que les personnages pensent et ressentent. Chers fans, on vous a compris ! On vous prend par la main et on ne vous lâchera pas.
Comme si derrière le projet, on avait compris que ce qui plaisait aussi dans Highlander, c’était le côté foireux, un peu par affection, un peu par résignation, tout sera fait pour neutraliser chacune des directions que le film emprunte, chacun des genres auxquels il se frotte et condamner au ridicule absolument tout ce qui apparaît à l’écran y compris Donnie Yen. Et ça commence dès les premières scènes avec la menace qui plane et qui s’abat sur Rachel (Sheila Gish) qui apparaît presque comme relevant du registre parodique dans la surutilisation d’objets générateurs de tension : un métronome dont on se demande ce qu’il peut bien foutre là, une boîte à musique qui dévide sa mélodie flippante, les coups de téléphone stridents... Le coup de grâce est donné par Connor qui hurle le nom de Rachel au ralenti.
La suite est du même acabit. Le grandiose des paysages d’Écosse arrive à être splendidement salopé à grands renforts de vues aériennes et d’effets clipesques ; l’émotion en prend aussi pour son grade, on sent la volonté de rejouer ce qu’avait su faire Russell Mulcahy sur la relation Connor/Heather... mais c’est fait avec une subtilité d’auteur Harlequin en termes d’écriture et de mauvais clippeur en termes de réalisation ; l’action soufre de mauvaises chorégraphies mais surtout d’une réalisation aux fraises et d’un montage catastrophique ; l’humour n’est pas en reste, l’horrible flashback où Connor et Duncan mettent une peignée à des bandits de grand chemin donne un bel aperçu de l’étendue des dégâts, nos deux bons vieux gentilshommes apparaissant de surcroit plus puants que réellement badass.
Tout, absolument tout, finit par sombrer tôt ou tard dans le ridicule le plus complet. Et avec Adrian Paul en haut de l’affiche, qui nous gratifie de moments de non jeux assez sympathiques (la mine pénétrée qu’il affiche tandis qu’il ressent la mort des immortels du sanctuaire lors de sa séance quotidienne de tai-chi-chuan rappelle les meilleurs moments de la filmographie de Sophie Marceau), on sent que la franchise passe un cap. Le flambeau est passé, Tof fait un dernier petit coucou dans un morphing dégueulasse lors du combat final, Adrian Paul est à présent le seul et unique Highlander.
Highlander Endgame est un vrai bonheur difficilement surpassable. Et pourtant Highlander : le gardien de l’immortalité aura réussi à le faire.



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Choississez 36 ingrédients parmi les 100 que comptent cette liste et placez-les judicieusement dans votre grille.
Attention, parmi ces 100 ingrédients, seuls 50 figurent dans la recette de ce film (sur les 57repérés par l'équipe d'Incredulos Vultus) ; ce qui veut dire que 50 ingrédients de cette liste ne se trouvent pas dans ce film.

Personnage > Agissement

    — Bagarre | Fait signe à son adversaire de s’approcher
    — Bagarre | Fracasse une bouteille sur le crâne d’un type

    Pleine en plus. Ces gens n’ont aucun savoir vivre.

    — Chute dans le vide en criant « Aaaaaah ! »

    À noter dès qu’un personnage tombe de haut en criant.

    — Émotion | Regarde (avec tristesse/nostalgie) une photo de sa femme/son mari/sa fille/son fils

    & variantes : une vidéo de famille.
    Peut lui parler.

    — Fuite | Bouscule des passants

    Y’a toujours des cons pour être en plein dans la course des protagonistes, aussi. Faut comprendre, merde.

    — Lance une attaque surprise dans le dos d’un personnage... en parlant voire en hurlant

    Et en partant de cinq bons mètres.
    Concerne généralement les sbires et les seconds couteaux.

    — Mord une pièce (d’or)
    — N’importe quoi | Projeté exagérément loin sous l’effet d’un coup de feu... voire d’un simple choc

    Touchée par un coup de feu, le personnage voltige 4 m en arrière.

    — Se libère de ses liens | En toute discrétion

    À l’insu de ses gardiens même.

    — Stylé | Balance une petite phrase avant de tuer une personne (ou après)

    Parce que tuer une personne ou lui foutre une raclée n’est pas suffisant, il faut aussi se faire plaisir en lâchant une répartie cinglante, spirituelle ou humiliante.

    — Super pouvoir | Ce qui lui a été dit lui revient/reste en tête mot pour mot

    Se traduit techniquement par la reprise des éléments de dialogue correspondants avec un léger effet de réverbération moche...

    — Tension | Tire un coup de feu en l’air pour calmer tout le monde

Personnage > Caractéristique

    — Blues | Est désolée d’apprendre la mort d’une personne

    ‒ « Votre femme ne vient pas avec vous. »
    ‒ « Non... Elle est morte il y a 3 ans. »
    ‒ « Oh, je suis désolé. »

    — Blues | Sa femme, sa fille sa mère ou sa sœur est morte

    & variantes : son mari, son fils, sa mère, etc.

    — Enfant ou ado tête à claques
    — Sacrée tête de mule

    Expression spéciste pour qualifier un personnage qui, ben oui, que voulez-vous, quand elle ou il a une idée dans le ciboulot, faut qu’elle ou il aille au bout, quel que soit le danger. On ne se refait pas.

    — Super pouvoir | Éloquence magistrale

    Discours (généralement improvisé) récompensé par un tonnerre d’applaudissements.

    — Tension | Hantée par des souvenirs traumatisants

Personnage > Citation

    — Commente | « J’ai bien besoin d’un verre, moi »
    — Défie | « Vas-y, tue-moi » « vas-y, appuie sur la détente »
    — Défie | « C’est tout ce que t’as ?! »
    — Prévient | « Fais pas le con ! »
    — Regrette | « Qu’est-ce que j’ai fait... »
    — S’inquiète | « Oh-oh »
    — Se justifie | « Laisse moi t’expliquer ! » / « C’est pas ce que tu crois ! » / « Tu dois me croire, je t’expliquerai »

Personnage > Héros ou héroïne

    — Retourne les paroles du ou de la méchante/d’un ou d’une rivale contre lui/elle
    — Super pouvoir | Simple blessure au front, au bras...

    Il s’en est pris pourtant, des beignes, mais visiblement, il est costaud le bougre !

    — Tension | Donne une leçon de courage face à son bourreau

    & variantes : est insolente face à son bourreau


Personnage > Interprétation

    — Lunettes | Enlève ses lunettes avant de parler

    Plus stylé, tu meurs ; sans compter que ça donne vachement de crédit à ce qu’on dit : si on enlève ses lunettes de soleil, c’est forcément qu’on va dire des trucs importants.


Personnage > Méchante

    — À l’épreuve | Sous-fifre qui se fait berner comme une bleue

Personnage secondaire

    — Flic d’aucun secours

    Soit parce qu’il est dans le coup, soit parce qu’il est incompétent, soit parce qu’il se fait buter direct comme une merde.
    Comprend aussi l’équipe d’intervention qui arrive bien après la bataille.

    — Meurt en mitraillant en l’air
    — Petite génie de l’informatique qui réalise une opération complexe en appuyant sur deux touches

Réalisation

    — Course-poursuite | Sème la panique en roulant sur le trottoir

    Passants : « Eh mais il est fou », « Attention !  », « Yaaaaaah ! ».
    & variantes de zones piétones : centres commerciaux, galeries marchandes, etc.

    — Démarre sur les chapeaux de roues

    La plupart du temps sans même être pressé par le temps.

    — Fin | Le film se termine sur un baiser
    — Fin | Véhicule ou personnages qui s’éloignent
    — Grammaire | Emploi d’accélérés péchus / Alternance d’accélérés et de ralentis

    Pour une scène (d’exposition généralement) péchue.

    — Grammaire | Plan rapproché des mains d’un flic en train de dérouler un ruban autour d’une scène de crime
    — Grammaire | Ralenti lors d’une chute ou d’un saut dans le vide
    — Grammaire | Ralentis injustifiés et insupportables

    Ralenti = oh là là, attention, il se passe quelque chose de dramatique !

    — Habillage | Incrustation de texte sur l’écran : lieu, date, heure, etc.

    Ou « X mois/années plus tard/plus tôt » (inclut à ce titre les cartons au même titre que les incrustations à proprement parler)

    — Images d’archives intégrées au générique de fin d’un film adapté de faits réels
    — Ouverture ou fin | Voix off d’introduction ou de conclusion

    À l’adresse du spectateur. Direct. Sans vaseline ni repas aux chandelles.

    — Ouverture | Présentation écrite de l’univers, de la situation, du personnage, du contexte voire définition

    Le plus souvent dans une jolie police : lettres gothiques pour la fantasy, typo sobre et anguleuse pour la SF, etc.

    — Technique | Travelling contrarié
    — Tension | Objet qui tombe au ralenti et dont la chute risque de donner l’alerte, fournir un indice, faire céder le sol, etc.
    — Vision subjective | Viseur de fusil à lunette
    — Woosh | Mise en scène

    Effet sonore qui renforce le dynamisme du montage ou de mouvements de caméra.


Réalisation > Accessoire et compagnie

    — Ambiance | Boîte à musique

    Un des pires éléments cinématographique. À égalité avec les clowns et les poupons en faïence.

    — Bagarre | Épée brisée au cours du combat
    — Intelligence artificielle (de vaisseau)/interface | a une voix robotique/monocorde

    Parle de manière saccadée ou sur un ton monocorde. Mais en tout cas parle beaucoup.

    — Mort hors-champ | Gerbe de sang qui éclabousse un mur, une vitre...

    Ça c’est de la suggestion vieux...

    — N’importe quoi | Explosion injustifiée

    (voiture, avion, bateau, etc.)

    — Pouet-pouet | Effet pyrotechnique hasardeux

    Souvent à base d’étincelles disgracieuses, sans aucun rapport avec la réalité.

    — Pouet-pouet | Mannequin en chute libre

    & variantes : mannequin écrabouillé, mannequin projeté... mais mannequin libéré !

    — Tension (ou émotion - à corriger) | Objet qui tombe (et se brise) au ralenti

    Une tasse, un verre, un cadre, un vase Ming, etc.

    — Tension | Jet de vapeur projetée par un tuyau qui fuit

    Le compagnon indispensable de toute usine désaffectée, sous-sol, base militaire, laboratoire, etc.


Réalisation > Audio

    —  ? | Dialogues en arrière-plan sonore

    Lors d’un rassemblement, on entend des voix plus distinctement que d’autres :
    ‒ « J’en ai pris plein la poire ! » ;
    ‒ « Laissez-le parler ! » ;
    ‒ « Il a raison ! » ;
    Etc.

    — Bruit exagéré | Coup de couteau

    Extra spongieux.

    — Bruit exagéré | Les épées, cannes, flèches, lances font woosh et cling !

    Woosh pour les coups donnés dans le vide (entraînements, démonstrations de rapidité) et cling dans les combats réels... Ah oui, et les armures font bong parfois.

    — Effet | Wooosh !

Réalisation > Surprise !

    — Bagarre | Coup de feu qui fait craindre le pire pour l’héroïne ou le héros... jusqu’à ce que la/le méchante s’écroule !

    Concerne aussi le coup qui retentit lors d’une mêlée, ou la/le méchante survit et le héro ou l’héroïne s’écroule.

    — Faux suspense !

    Exemples :

    • une musique stridente accompagne l’arrivée dans le champ d’une main qui se pose sur l’épaule du personnage que l’on suit, mais ce n’était que la main d’un ami.
    • un discours d’un officiel mécontent laisse croire à une sanction terrible pour un personnage, jusqu’à l’annonce d’une remise de médaille annoncée avec un grand sourire.
    — Sous le coup de la surprise | fait tomber sa clope de la bouche ou laisse tomber un objet

    & variantes : lâche son plat à gratin, ses lunettes, ses dossiers, etc.
    Voir aussi Sous le coup de la surprise | échappe/renverse son verre.

    — Tension désamorcée | Surprise par un animal

    Genre un chat ou un piaf qui vole bas

    — Tension | Moment de tension interrompu par une sonnerie de téléphone / sonnette de porte

    Les gens appellent toujours au mauvais moment. Surtout ceux qui demandent si t’as fait des travaux d’isolation récemment.


Scénario > Blague, gag et quiproquo

    — Gag cartoonesque | Envoyée par dessus bord après un coup de bôme

    Avec gros plan sur le visage surpris du personnage.

    — Interprétation | Louche ou grimace après avoir reçu des coups
    — Ronflements
    — Se cache (gag)

    Surtout ne pas se faire voir par sa fille qu’on espionne.

    — Souffle d’un véhicule rapide qui fait s’envoler des vêtements ou tomber des radars (gag)

Scénario > Contexte spatio-temporel

    — Cimetière

    Scènes prenant comme décor un cimetière, mais hors des scènes d’enterrement.

    — Cliché touristique

Scénario > Dialogue

    — Deux types se battent (à mort), sans pouvoir s’empêcher de papoter tranquillou

    Entre une fente à l’escrime, une esquive de masse d’arme ou une parade d’uppercut, les combattantes enchaînent leur explication de texte, et sans être essoufflée qui plus est.

    — Foule en délire

    Applaudissements nourris après une action héroïque, la résolution positive d’un événement dramatique, etc.

    — Licence linguistique

    Entrent dans cette catégorie deux trucs insupportables :

    • Un personnage étranger ponctue ses phrases, parfaitement construites d’un point de vue grammatical, de mots clés de sa langue d’origine (à titre d’exemple un mexicain peut prononcer sans fourcher acide acétylsalicylique mais semblera incapable de dire sir ou mister en VO, monsieur en VF, et se bornera à dire señor) ;
    • Les personnages étrangers parlent entre eux en français pour ce qui est de la VF (mais avec un accent quand même)... Y compris dans les QG de l’armée allemande, dans les films qui se déroulent pendant la seconde guerre mondiale, par exemple ;
    • C’est tout aussi crétin pour les extraterrestres dont la langue maternelle est l’anglais. Mais on ne poussera pas le vice jusqu’à cocher cette entrée pas plus qu’on ne la cochera pour les films historiques même si, pour rappel, on ne parlait pas anglais dans la Rome antique.
    — Phrase-choc

Scénario > Élément

    — Faux-suspense | Abat la menace qui arrive dans le dos du héros/de l’héroïne et qu’on n’avait pas vue venir
    — Scène de douche quasi publicitaire

    Avec tout ce qu’on peut en attendre formellement : plan d’ensemble depuis l’extérieur de la cabine ou baignoire, plan rapproché de profil du personnage qui redresse légèrement la tête dans un soupir de soulagement tandis que le jet d’eau lui frappe le torse, plan de face le montrant incliner sa tête d’un côté et de l’autre les yeux fermés...
    A toujours un côté poseur, publicitaire, affecté. Le personnages ne se mouche pas dans ses doigts, ne grimace pas quand le jet d’eau lui éclabousse la tronche.
    Suivant le contexte peut être filmé par le prisme Vue subjective.
    Moment de calme qui peut être interrompu.

    — Toast

    Du simple « à machin » au grand format précédé d’un cling-cling-cling émis par le bord d’un verre frappé par un couvert.

    — Une proche meurt sous ses yeux

    sa copine, son pote, son mari, son gnard...


Scénario > Ficelle scénaristique

    — Entre le héros/héroïne et le méchant/méchante, c’est une affaire personnelle

    Dis donc, toi, qui essaie d’asservir le monde, t’aurais pas massacré toute ma famille quand j’étais trop petit pour me défendre ? Tu vas mourir ! Mais avant je te ferai cracher le nom de ta crème anti âge !

    — Introduction forcée d’un élément dont on sait d’avance qu’il servira plus tard (fusil de Tchekhov)
    — Retour d’un personnage qu’on croyait mort

Scénario > Situation

    — Agissement | Se recueille sur une tombe/devant un cercueil, etc.

    Là, c’est le moment émouvant où on est censée comprendre pas mal de trucs sur la psychologie des personnages.

    — Menace | Impliquant la bite et/ou les couilles

    Comme si y avait pas d’autres trucs qui dépassaient...

    — Tension | Doit s’échapper avant la destruction imminente de...

    ... la base secrète, le vaisseau ennemi, etc.

    — Tension | Torture

    Le hobby du/de la méchante.


Thème > N’importe quoi

    — Accessoire | Coiffure impeccable, en toutes circonstances
    — Carton-pâte | Coup de poing pouet-pouet

    Coup de poing qui passe à l’aise à 40 cm de la cible, mais qui touche quand même ; la magie du cinéma.

    — Stylé | Prend une graaaande inspiration avant de revenir à la vie

    Le cœur s’est arrêté depuis 8 min ? pas grave, on prend un grand bol d’air et tout est oublié.

    — Stylé | Reflet limpide dans une pupille

Thème > Rejets, moqueries ou discriminations

    — Remarque ou attitude spéciste | Remarque péjorative ou insulte en référence à un animal non-humain

    Le genre d’expressions solidement ancrées dans nos habitudes et qui paraissent en apparence totalement innocentes : « du travail de cochon », « têtu comme un mulet », « sale porc », « manger comme un goret », « une mémoire de poisson rouge », etc.
    Ne pas confondre avec Remarque ou attitude spéciste | Déconsidération modérée des autres animaux.

    — Wacisme

Thème > Sexisme hostile à l’égard des femmes

    — Objectification sexuelle | Nichons, fesses
    — Objectification sexuelle | Tenues légères

Thème > Testostérone

    — En confiance | Ne veut pas entendre parler de ces conneries de psychiatres à la con

    Lui parler des petits hommes verts retiendrait plus son attention.
    Et puis quoi, tu crois qu’il est cinglé, c’est ça ? C’est un putain de bonhomme, merde !


(Cette liste d'ingrédients est renouvelée automatiquement tous les 2 mois)



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Personnage > Agissement

Personnage > Caractéristique

Personnage > Citation

Personnage > Héros ou héroïne

Personnage secondaire

Réalisation

Réalisation > Accessoire et compagnie

Réalisation > Audio

Réalisation > Surprise !

Scénario > Blague, gag et quiproquo

Scénario > Contexte spatio-temporel

Scénario > Dialogue

Scénario > Élément

Scénario > Ficelle scénaristique

Scénario > Situation

Thème > N’importe quoi

Thème > Sexisme hostile à l’égard des femmes

    Ce film ne contient aucune mort


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