En l’an 40 000. Sur ordre du président de la Terre, la jeune Barbarella doit retarder ses vacances sur Vénus pour tenter de retrouver et d’arrêter le redoutable professeur Durand Durand, qui vient de mettre au point une arme effroyable : le rayon positronique, aussi appelé « polyrayon 4 », qui met en danger l’équilibre de l’amour universel. Un atterrissage forcé sur Lytheion vaut à Barbarella d’être capturée par deux gamines qui la livrent à des poupées‐robots. La jeune femme est sauvée par l’intervention de Mark Hand. Elle apprend en outre que Durand Durand se trouve sur la planète Sogo, sur laquelle son appareil s’écrase. La malheureuse tombe entre les griffes de la féroce Reine noire…
La scène d’orgasme de la dragée de transfert d’émotion pendant laquelle la chevelure de Barbarella est passée aux bigoudis ;
Plus globalement, le film est une continuité presqu’interrompue de Regards incrédules ;
Etc.
Des choses gentilles à dire sur ce film
Les décors, les costumes, la musique, les dialogues et toutes les idées plus originales, farfelues, décalées qui se succèdent avec délice : la consommation d’essence de mâle, le poulpe tirant un traîneau, l’intérieur du vaisseau recouvert de fourrure, etc.
Un des super pouvoirs de Barbarella qui s’évanouit TOUJOURS de manière sexy ;
« Oh, c’est toi Jean-Paul, quoi d’neuf ? » ;
etc.
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...