La planète Terre est un désert dévasté, et ce qui reste de l'humanité à colonisé la lune dans des villes en forme de dome. La survie de l'humanité dépend d'un médicament anti-rayonnement uniquement disponible sur la planète Delta 3, qui a été repris par Omus, un mécanicien brillant mais fou qui n'accorde aucune valeur à la vie humaine. Omus cherche à présent à conquérir la lune, avec son armée de robots. Le docteur John Caball, son fils, Jason, et l'amie de celui ci, Kim, ainsi qu'un robot nommé Sparks se lancent à travers l'espace, dans un vaisseau de guerre, pour une mission non autorisée sur Delta 3 afin de tenter d'arreter Omus...
Titre original (ou alternatif) : The Shape of Things to Come
Le figurant qui se jette de lui-même contre un mur au cours d’une bagarre pour simuler l’impact d’un choc.
Des choses gentilles à dire sur ce film
Alerte dans le cosmos fait-il partie de ces petits bijoux qui nécessitent de passer outre une esthétique à la fois kitsch et fauchée et une réalisation dégueulasse pour découvrir un petit coeur qui bat, unique, libre, un condensé de poésie, un étrange objet où s’ébattent l’art et la pensée ? Absolument pas. Alerte dans le cosmos est naze et profondément ennuyeux. Faut-il pour autant refuser de le voir ? Sachant, entre autres, qu’il met en scène un méchant tout en cape et en volonté de domination incarné par Jack Palance ; Sachant que celui-ci a sous ses ordres une modeste armée de figurants déguisés en robots qui sont susceptibles de s’en prendre de manière totalement gratuite à des canalisations et de se jeter au sol sans raison aucune ; sachant que l’un d’entre eux, récupéré et reprogrammé par les gentils porte le nom de Sparks... et qu’il sait faire la révérence ; sachant que des acteurs y simulent à merveille une dilatation du temps ; et sachant qu’à un moment apparaît un hologramme gigantesque de Jack Palance ? Ça...
Arf... Ce film n'est pas assez riche en ingrédients pour jouer dans de bonnes conditions avec une grille de 36 cases...